LE TOP 50 FRANCOPHONE
"Le Top 50 Francophone" est un projet de la Fédération Internationale des Professeurs de Français (FIPF), qui offre aux associations de son réseau la possibilité d’organiser une élection du top 50 de musique francophone dans leurs pays et dans leurs langues.
N'hésitez pas à vous abonner gratuitement au site www.musique-de-la-semaine.eu.
Une nouvelle filiale de l'ARPF, celle du département de Brãila
L'Association Roumaine des Professeurs de Français vient d'inaugurer la plus nouvelle filiale - celle du département de Brãila, ce début du mois de Novembre 2011. L'inauguration a été gérée, à côté de la Présidente de l'ARPF, Mme Cristina Grigore, par l'Inspecteur Général de l'Inspectorat Scolaire de Brãila et du représentant de la Mairie de la pittoresque ville danubienne.
Concours de création de Fiches pédagogiques
Dans le cadre de la promotion des innovations pédagogiqueset le renforcement des capacités des enseignants, l’Association Sénégalaise des Professeurs de français (ASPF), en partenariat avec la Fédération Internationale des Professeurs de Français (FIPF), organise un Concours National de présentation de Fiches Pédagogiques intitulé « Dis-moi dix mots qui te racontent» : une thématique sous le signe de l’intime
Colloque FLE Puerto Rico
Le Département de langues étrangères (Université de Porto Rico) et l’Alliance Française de Puerto Rico organisent, du 29 février au 2 mars 2012, un colloque portant sur les aspects culturels, linguistiques et pédagogiques de l’apprentissage du français langue étrangère (FLE) dans la Caraïbe et dans le monde.
Fonds d'innovation pédagogique
Dans le cadre du soutien à la communauté mondiale des professeurs de français, la Fédération internationale (FIPF) et le ministère des Affaires étrangères et européennes (MAEE) reconduisent en 2011 le "Fonds d'innovation pédagogique" qui récompense les projets pédagogiques présentés par les associations affiliées à la FIPF.
Forum mondial de la langue française
Le forum mondial de la langue française aura lieu du 2 au 6 juillet 2012 à Québec.
À l’heure de la mondialisation et de la standardisation commerciale, vivre et s’épanouir en français relèvent‑ils de l’utopie ? Comment préserver la richesse de l’écriture quand les échanges se limitent de plus en plus à 140 caractères ? Peut‑on vraiment espérer « vivre de son art » en français ?